Jean-François Champollion (1790 – 1832)

Jean-François Champollion se mit à étudier l’écriture égyptienne en 1806. Grâce à l’obélisque de Philae en 1820, Jean-François Champollion a interprété la correspondance des signes hiératiques.

Jean-François Champollion mourut en 1832 à l’âge de 42 ans.

 

 

Les scribes

 

Les scribes se servaient d’un système d’écriture cursive, hiératique. Le scribe disposait de brins de roseaux et d’une palette de peinture. Le papier est fait de tiges de Papyrus qui est coupé en fines lamelles. Les enfants apprenaient d’abord l’écriture hiératique, parce que ça allait plus vite. Les élèves s’entraînaient sur des fragments de pierres appelés ostraca.

 

La Pierre de Rosette

C’est en 1799 qu’un archéologue appelé Jean-François Champollion a découvert la Pierre de Rosette. Elle avait trois écritures : le grec, le hiéroglyphe et le copte. Jean-François Champollion a réussi à déchiffrer la Pierre de Rosette en 1822.

Cette pierre mesure 1 m 74 de haut sur 72 cm de large.

 

Les hiéroglyphes

 

L’écriture égyptienne s’appelle le hiéroglyphe. Elle comprend des signes qui se lisent et d’autres non : ils sont là pour préciser la lecture de l’ensemble.

Les hiéroglyphes pouvaient se lire de droite à gauche, de gauche à droite (si les personnages humains regardent vers la droite) et de haut en bas. En égyptien la chouette représente un M, la main représente un D…

Un signe hiéroglyphe peut être utilisé avec 3 valeurs différentes :
Le signe exprime ce qu’il représente : soleil, oreille...

Le signe va représenter un rébus :
le mot français « courbette » (mouvement du cheval qui se cabre) s’écrira :
Le signe exprime une idée voisine de la réalité : le jour = soleil.

De nos jours on n’utilise plus les hiéroglyphes.

Leïa et Alexandra


Vous pouvez consulter le dossier sur : "Les dieux et déesses égyptiens"